Vous avez consulté récemment le site incontournable sur l’investissement immobilier en France www.advestim.fr, et vous avez constaté qu’une nouvelle rubrique avait fait son apparition. Une rubrique dédiée au déficit foncier.
Alors comme beaucoup, vous vous dites pourquoi une rubrique dédiée au déficit foncier ? Qu’est-ce que c’est le déficit foncier ? Encore une nouvelle loi de défiscalisation ?……
Face à autant de questions, et pour répondre à cette clameur qui ne cesse de grandir, j’ai décidé de m’exprimer, et d’expliquer cette décision ô combien stratégique.
A l’heure où le débat fait rage en Europe pour savoir s’il faut poursuivre la réduction des déficits ou au contraire mener une politique de dépenses pour soutenir l’activité, et bien moi je peux vous affirmer qu’en matière fiscale et particulièrement en ce qui concerne l’investissement immobilier, le déficit a du bon.
Le déficit foncier est une situation où les charges foncières et financières sont supérieures aux recettes encaissées. Dans ces circonstances, le résultat foncier imposable est nul, et donc les revenus fonciers encaissés ne sont pas soumis à l’impôt sur le revenu et aux prélèvements sociaux, d’où un gain fiscal qui peut atteindre 60% du montant des dépenses.
Le déficit foncier n’est pas une loi de défiscalisation comme peuvent l’être les dispositifs Duflot, Pinel, ou encore les lois Malraux, Bouvard. Il relève simplement de l’application du régime de droit commun.
Perdre pour gagner ?
En réalité il ne s’agit pas de perte, mais d’investissement et de valorisation patrimoniale.
La bonne stratégie d’un investissement immobilier en déficit foncier consiste à acheter un appartement dans un ensemble immobilier qui sera entièrement rénové ou réhabilité, parties communes comme parties privatives.
Les dépenses engagées pour les travaux et les frais induits (assurances, honoraires architectes, etc.) sont considérées comme des charges déductibles du revenu foncier.
Cet investissement en travaux permet ainsi de diminuer et même d’effacer sur de nombreuses années (jusqu’à 10 ans) les revenus fonciers du foyer fiscal, et de réaliser jusqu’à 60% d’économies d’impôts.
Au-delà du fort gain fiscal, l’investisseur se constitue un patrimoine immobilier ancien de qualité, très attractif sur le marché locatif.
Un mécanisme qui intéressera tous ceux qui disposent de revenus fonciers soumis à l’impôt.
Pour ceux qui n’auraient pas encore consulté cette nouvelle rubrique, suivez le lien suivant: pour tout savoir sur le déficit foncier.
Gérald Branche